C’est une situation délicate que rapporte France 3 Bourgogne Franche Comté. Les chantiers de gros oeuvre pullulent, à l’instar du second oeuvre, et la main d’oeuvre manque. Depuis le mois de janvier dernier, la demande est repartie avec des commandes en nette hausse. De quoi se réjouir en théorie, sauf que les embauches coincent alors que pôle emploi compte un nombre suffisant d’inscrits. Ni les salaires (de 1500 à 2000 euros) ni la formation (la fédération du bâtiment propose des stages) ne sont en cause. Alors ?
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