En cette fin d’exercice, Bertrand Carret à la tête du DLR depuis le printemps dernier, se félicite des actions entreprises, notamment sur le plan de la promotion de la filière, celle des acteurs de la construction.
« Tant sur le plan des réseaux sociaux, avec la création d’une Web TV que sur des démarches de reconnaissance auprès des pouvoirs publics, les équipes du DLR sont gonflées à bloc. Notre structure financière est saine et nous avons réussi à fédérer autour de notre projet une filière toute entière, celle des acteurs de la construction », détaille Bertrand Carret.
Dans cette volonté d’être mieux connu et reconnu, le DLR, renforcé par l’adhésion en 2016 de plusieurs autres syndicats comme les levageurs ou les loueurs de grues à tour, a pu passer avec succès un « stress test » comme l’appelle Bertrand Carret, auprès de la Direction du Travail en tant que fédération à part entière et bénéficiant d’une bien meilleure représentativité.
Reste à son président en 2017 d’aller encore plus loin dans cette démarche avec le dossier toujours d’actualité de la récupération de la TVA par les collectivités locales sur des contrats de location. « Nous continuerons aussi à défendre les intérêts de nos adhérents pour faire reconnaître à sa juste valeur le professionnalisme de notre activité de loueur, distributeur, réparateur et ne pas être considéré comme c’est souvent le cas comme de simples sous-traitants », conclut Bertrand Carret.