Protéger les océans, tout en limitant les déperditions thermiques des logements. Voici, en résumé, ce qu’a réussi à faire le groupe SEMIN avec sa nouvelle isolation : l’isolant bref. Fabriqué à base de bouteilles de plastique recyclées, cet isolant promet d’excellentes performances thermiques et une pose facilitée.
Grâce à SEMIN, il est désormais possible d’isoler un bâtiment avec des bouteilles en plastique. Réduites en paillettes, celles-ci sont transformées en ouate de polyester puis utilisées sous forme de panneaux semi-rigide ou en rouleaux. Grâce à sa composition, cet isolant, appelé bref, affiche un excellent lambda de 34, permettant d’améliorer le confort thermique d’un bâtiment en été comme en hiver. L’isolation acoustique n’est pas en reste avec une performance de 45 dB. La mise en œuvre n’est pas en reste. Labellisé OEKO TEX (standard 100) classe 1, l’isolant est non-irritant et n’émet aucune substance nocive pour la santé. Facile à découper et à manipuler grâce à son poids contenu, il permet une mise en œuvre rapide et efficace. Imputrescible, il peut être stocké en extérieur pendant 9 mois sans altération de ses performances thermiques et mécaniques.
Chaque année, on estime à 22 000 tonnes la quantité de bouteilles en plastiques déversés dans les océans. Avec ce nouvel isolant, SEMIN contribue donc à limiter l’impact de l’être humain sur les océans. Et ce n’est pas tout. Recyclable à l’infini de par sa composition, l’isolant pourra être recyclé en fin de vie pour de nouveau être utilisé. Selon SEMIN, l’isolation d’une maison de 120 m2 nécessite le recyclage de 20 000 bouteilles en plastique.