Si cette rallonge est validée, le quotidien révèle qu’elle porterait à 50 % le taux de cofinancement maximal pour les projets transfrontaliers tels que le Lyon-Turin.
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Un point sur lequel la lettre répond également. Les Echos cite : "Une suspension du projet mettrait en question l’accord de subvention en cours, et pourrait conduire à sa résiliation et au recouvrement total ou partiel des sommes déjà versées".
En d’autres termes, en cas de suspension, les fonds européens versés (370 millions d’euros entre 2007 et 2013, puis 814 millions pour la période 2014-2020) sont susceptibles d’être recouvrés.