En 2013, Keolis, filiale de la SNCF, réalise un chiffre d’affaires de 5,1 milliards d’euros en croissance de +2,2% par rapport à 2012.
Avec un chiffre d’affaires de 5,1 milliards d’euros et des bénéfices stables en 2013, la filiale de la SNCF ambitionne 7 milliards d’euros de recettes en 2017. Bien qu’en croissance en 2013, Keolis considère l’année écoulée comme "une année de transition et de consolidation". Elle a vu de nombreux projets se concrétiser à l’étranger comme l’extension du tramway de Bergen en Norvège, le contrat de bus et de train dans la région de Twente aux Pays-Bas et le contrat ferroviaire de Bielefeld en Allemagne. En France, Keolis s’impose sur les réseaux urbains avec de nouvelles opérations telles que le service de métro léger à Tours, l’extension du métro léger de Lyon et une nouvelle ligne de métro, et un service de BRT à Metz et à Strasbourg.
En 2014, la priorité reste le lancement de nouvelles opérations. A l’étranger, la gestion du réseau de trains de banlieue de Boston (USA) a été prise en main, deux métros légers doivent être lancés à Gold Coas en Australie et à Nottingham (Angleterre), et le lancement est imminent pour le métro d’Hyderabad en Inde. En outre, Keolis est impliqué dans plusieurs appels d’offres majeurs en 2014. Au Royaume-Uni, notamment, avec le Docklands Light Rail, un métro automatisé à Londres, le Thameslink, un service de train de banlieue traversant Londres du nord au sud, un service de train de banlieue sur le Crossrail et l’East Coast Main Line, un train régional reliant Londres à l’Ecosse. Ailleurs, Keolis intervient dans le cadre du PPP du Sydney Light Rail, et participe aux appels d’offres concernant des métros légers dans le Maryland (USA) et en Ontario (Canada). En France, la filiale de la SNCF espère obtenir un important contrat à Bordeaux.