Afin de montrer qu’il est possible de concilier clairage public autonome et biodiversité Novéa Énergies équipe les villes de Wasquehal (59) et La Roche sur Yon (85) avec des solutions éco-conçues.
Préserver la biodiversité en conciliant les besoins de tous les écosystèmes est un des axes majeurs du développement durable, et concerne aujourd’hui tous les secteurs d’activité. C’est avec cette idée en tête que Novéa Énergies, développe, conçoit et propose des scénarii d’éclairage public autonome sur-mesure, adaptés à l’environnement dans lequel ils doivent se fondre.
2 villes séduites
Novéa Énergies a ainsi équipé les communes de La Roche sur Yon (85), et Wasquehal (59) respectivement de 36 et 74 ensembles solaires autonomes répondant parfaitement aux enjeux environnementaux, économiques et sociaux de ces deux territoires. La première étape pour Novéa Énergies est de définir en amont l’utilisation future de ses candélabres solaires pour concevoir un scénario d’éclairage sur-mesure, adapté dès l’installation à l’écosystème dans lequel il a vocation à s’intégrer. Tous les luminaires de l’entreprise angevine sont par ailleurs conformes à l’arrêté du 27 décembre 2018 relatif à la prévention, la réduction et la limitation des nuisances lumineuses. En ce sens, le dimensionnement et le paramétrage des équipements obéissent donc à des contraintes strictes, notamment en matière de température de couleur, pour respecter les besoins des différents écosystèmes (ex : zones protégées, sites d’observation astronomique …).
Le chemin de Wasquehal
Ce sont 74 ensembles solaires qui éclairent un chemin de halage à Wasquehal (59 – Nord). Issus, de la gamme Combi Top de 5 mètres de haut (RAL 7016), assortis des consoles St Luc et des luminaires Tekk S de Ragni, ils sont allumés à 100 % 3 heures après le crépuscule. Puis, ils s’abaissent à 20 % le reste de la nuit et s’éteignent complètement entre 1h et 4h pour se rallumer à 100% 1h avant l’aube. Cela permet d’éclairer la zone uniquement lors de la présence des usagers. Pour préserver la biodiversité propre à la ville, la température de couleur de l’éclairage est plus orangée (2200 K), et celui-ci ne donne pas sur l’eau afin de ne pas perturber les espèces aquatiques grâce à des optiques spécifiques.
Le lycée de La Roche sur Yon
La ville de La Roche Sur Yon en Vendée avait besoin d’éclairer les abords de l’un de ses établissements scolaires, le lycée Nature. Novéa Énergies a déployé 36 ensembles solaires issus de 2 gammes différentes pour répondre au besoin de sécurité de la ville, tout en s’adaptant aux contraintes liées à la biodiversité et aux spécificités des zones ombragées. Novéa Énergies a équipé ces dernières de 5 Multi Top 6, qui ont la particularité de pouvoir alimenter d’autres luminaires en énergie solaire (28 luminaires en tout répartis sur les 5 centrales), résolvant ainsi la contrainte du manque d’exposition directe au soleil. Le reste de la zone est équipé de 8 Combi Top 2, le tout en coloris gris clair (RAL 9006). En veille à 0 % avec 3 heures de détection cumulées prévues (240 passages maximum avec 45 secondes d’éclairage à chaque passage), ils s’éteignent complètement de 22h à 5h30 (5h pour les Combi Top 2) pour s’adapter à la fréquentation du lieu.
Des élus ravis
« Nous avions besoin d’une solution à la fois écologique, qui ne consomme pas d’électricité et n’émette pas de CO2, et respectueuse de la faune et la flore qui peuplent les berges de notre canal. La solution d’éclairage public solaire de Novéa Énergies s’est révélée d’autant plus économique et préservatrice de la biodiversité qu’elle n’a pas nécessité de travaux de génie civil. Depuis l’installation des mâts solaires, les habitants se réapproprient les berges, désormais éclairées, qu’ils délaissaient en hiver », explique Sylvie Minne, adjointe au maire de la ville de Wasquehal. « La solution de Novéa Énergies était la seule du marché à répondre à nos contraintes multiples : sécuriser le chemin situé sur un site naturel, traversé par une rivière, sans travaux lourds, sans nécessiter trop de maintenance et dans le respect de la biodiversité. Esthétiquement, le rendu a de plus un côté presque magique », explique Alexandre Colonnier du SYDEV (Syndicat Départemental d’énergie et d’équipement de la Vendée).