En se classant à la 25ème position du Top 250 des éditeurs de logiciels français 2023 et à la 13ème position du point de vue sectoriel, Sogelink affirme son statut d’éditeur de qualité.
Sogelink, éditeur de logiciels pour les professionnels de la construction gagne 2 places par rapport à l’année dernière et 10 places sur N-2. Cette 13e édition du panorama des éditeurs de logiciels français, réalisée par Ey et Numeum reflète les efforts menés par l’éditeur depuis de nombreuses années en matière de digitalisation et de R&D. Sogelink accompagne à chaque étape de leur projet, tous les acteurs de la construction. Son offre renforcée autour de l’optimisation des projets de conception et de d’ingénierie, de la gestion du domaine public et du patrimoine, et de la sécurisation des chantiers de construction, lui permet d’être incontournable sur le marché européen de la construction tech. Le Groupe réunit aujourd’hui plus de 18 000 clients et 220 000 utilisateurs.
Une accélération en phase avec les changements opérés en 2022
Ce classement ne vient que confirmer l’appétit de l’éditeur. Acquisitions en Europe, nouvelle identité visuelle, nouveau site web, offre consolidée et simplifiée, etc., Sogelink a renforcé son positionnement autour des besoins de ses clients, sur l’ensemble des processus de construction avec une promesse : « Make Construction Simple ». C’est sous un nom unique « Sogelink » et avec une offre de premier plan pouvant aussi bien s’adapter aux différentes localités couvertes par le groupe, qu’aux marchés internationaux, que Sogelink entend poursuivre son développement dans toute l’Europe. “Accompagner nos clients dans leur activité, à chaque étape de leur processus, être au plus près de leurs attentes grâce à des solutions innovantes, leur apportant un réel gain de productivité, est notre promesse. La montée en puissance de Sogelink dans ce classement est la traduction du travail réalisé par nos équipes pour couvrir au mieux les besoins des acteurs de notre écosystème » souligne Fatima Berral, CEO de Sogelink.
