" Sur la problématique de l’orientation, ce n’est pas lié à une question de budget, celui de la formation étant 2,5 fois supérieur à celui de l’Allemagne, dont le taux de chômage est 2 fois inférieur chez les jeunes de 18 à 24 ans… Mais bien à une logique de choix à l’aveugle et de professeurs, pas vraiment au fait des opportunités offertes par les filières techniques comme celle de la maintenance des matériels. Alors, pourquoi ne pas créer des comités d’orientation où siègeraient des enseignants de ces filières techniques ? ».
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