Un TMS (Transport Management System) adapté à la location avec chauffeur qui connecte les entreprises de TP et leurs locatiers ! C’est ainsi qu’est né Matos TP suite à la rencontre entre un locatier qui cherchait à améliorer sa productivité et la qualité de vie de ses équipes tout en apportant un meilleur service à ses clients et un ingénieur Travaux qui cherchait à optimiser ses temps de recherches, sécuriser et tracer ses échanges avec ses locatiers et leurs chauffeurs tout en gagnant en confort de travail et en productivité grâce à la numérisation des procédures administratives et commerciales.
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Pour concrétiser son offre, Frédéric Corolleur et ses équipes (10 collaborateurs) se sont donné pour ambition de proposer un outil numérique simple et accessible, une plateforme dédiée, adaptée à tous les acteurs (Grandes et petites entreprises de Travaux Publics, locatiers, affréteurs et opérateurs). Matos simplifie, automatise, dématérialise, fluidifie mais également trace et diminue l’impact carbone de l’exploitation du parc des engins et des transports dans les travaux publics.
Grâce à sa plateforme, MATOS propose à la fois un service de mise en relation pour ceux qui ont des besoins ponctuels et un service en mode SAAS (Software As A Service) pour ceux qui souhaitent structurer l’exploitation de leurs camions et engins de Travaux Publics et piloter leurs locatiers.
Un ensemble de services qui fait dire à Frédéric Corolleur que Matos est une sorte de « Doctolib pour les matériels de Travaux publics : à partir d’un espace client, on peut retrouver la liste du matériel disponible chez ses locatiers, voir sa disponibilité, s’il existe un tarif cadre, vérifier les documents réglementaires (société, machine et conducteur), dématérialiser les commandes et ordres de mission, dématérialiser les bons de locations qui deviennent un vrai outil de suivi de chantier car ils reviennent chiffrés au jour le jour, aujourd’hui en termes de coût économique et demain en termes écologique avec la mesure des émissions de CO2 émises par mission… ». Il fallait y penser.
