Aujourd’hui, le coût de la non qualité dans le secteur du bâtiment représente 15 milliards d’euros par an, soit 12% du chiffre d’affaires de la filière. "La réalité augmentée prend tout son sens dans le secteur du BTP et de la gestion de risques. L’expertise augmentée, discrète et non intrusive apporte de nombreux avantages aux différents acteurs de l’écosystème", explique Michel Lutz, directeur technique du groupe Saretec.
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