Grenobloise et sa périphérie, encaissées entre les massifs du Vercors et de la Chartreuse, connaissant régulièrement des pics de pollution. C’est pour mieux connaître les lieux exposés à la pollution, ainsi que leurs niveaux, que le laboratoire d’expérimentation des mobilités de l’agglomération grenobloise (Lemon) a développé un outil des plus efficace pour aider les pouvoirs publics à prendre les bonnes décisions, et à mieux informer les populations pour influer sur les comportements.
Tel est l’objet de l’expérimentation GreenZenTag qui mobilise pour l’occasion deux start-ups, EcoLogicSense et Zenbus, et deux acteurs de l’environnement, Egis Environnement et Atmo Auvergne-Rhône-Alpes.
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D’ici fin janvier, une première cartographie des résultats sera visible.
Si l’expérience est probante, ce dispositif pourra être pérennisé à Grenoble. Ces microcapteurs, sept fois moins coûteux que les capteurs fixes, pourraient aussi devenir une solution pour les villes non équipées d’observatoire.