Si le nouveau chariot télescopique T33-10 est équipé d’une batterie électrique, il peut également fonctionner avec trois types d’énergies : HVO, batterie électrique ou hybride. Au choix selon l’utilisation. Le constructeur le dévoilera à Intermat.

Avec le T33-10, les chariots télescopiques Liebherr prennent de l’avance avec des concepts d’entraînement optimisés pour l’utilisation ou le marché : huile végétale hydrogénée (HVO) comme pendant ou complément à faibles émissions aux combustibles fossiles, entraînements électriques à batterie ainsi qu’un entraînement hybride composé d’un moteur thermique et d’un moteur électrique.
Le carburant synthétique durable HVO prend une place de plus en plus prépondérante chez Liebherr. Dès lors qu’elle utilise uniquement de l’électricité tirée de sources d’énergie renouvelables, sa production aussi est neutre en termes de climat. Qui plus est, il dégage moins d’émissions en fonctionnement qu’un engin roulant au carburant d’origine fossile. Sa bonne compatibilité avec tous les composants du moteur et sa miscibilité avec le carburant fossile réduisent grandement les obstacles, pour le client, à la mise en place ou au passage à un autre carburant. Et l’on peut tout aussi bien envisager une conversion en cours d’exploitation, motivée par des difficultés d’approvisionnement.  

La solution zéro émission locale pour les chariots télescopiques Liebherr repose sur un concept modulaire de batterie haute tension couplé à un entraînement électrique, qui peut être adapté au gré des besoins du client et à l’utilisation prévue, et qui est pourvu d’un dispositif électronique embarqué de recharge. Cet entraînement convient tout particulièrement aux opérations en intérieur, comme le recyclage.

Quant au troisième concept d’entraînement possible,  un système hybride « plug-in » de série, il garantit aux clients une remarquable liberté en termes de portée de travail et permet un fonctionnement même sans batterie. Grâce au rendement global accru pour les trois systèmes présentés et la faculté de récupération de l’énergie lors du freinage et de l’abaissement de la flèche, des économies de carburant supérieures à 20 % sont tout à fait réalistes.