Un travail d’approfondissement engagé en 2011 par Lisea, concessionnaire de la LGV SEA, avait déjà permis la mise en place de différents moyens de protections en prévision d’un trafic théorique en 2036, tels que des déblais, des merlons et une centaine de kilomètres de murs anti‐bruit.
PUBLICITÉ
Ces échanges ont permis de cibler le travail qui doit être mené par le Cerema, organisme en charge de réaliser les mesures sur le terrain. 145 points ont été identifiés et validés.
Concrètement, l’organisme va installer des micros à environ 1,5 mètre de la façade des habitations concernées afin d’enregistrer et mesurer le bruit pendant 24h. Le traitement des données, pendant cinq semaines, doit ensuite établir si les nuisances respectent la réglementation imposant une limite de 60 décibels de jour en moyenne (la moyenne est calculée de 6h à 22h) et de 55 décibels en nocturne (22h – 6h).